Défi : langage : le renforcement négatif et les autres moyens de communiquer avec les équidés (partie 5)

Les autres moyens de communiquer.

Il y a surement d’autres noms techniques pour d’autres modes de communications.

Les deux précédemment développés s’appuient tous les deux sur un stimulus de l’humain qui enclenche une réaction en chaine. Ils peuvent être vocaux ou physique. Ces deux méthodes s’imbriquent dans l’éducation du cheval par l’humain, mais délaisse la communication première du cheval vers l’humain. Je rajouterais que ce sont des communications de travail, induisant un résultat.

Dans la vie de l’homme lié au cheval, il y a aussi d’autres instants de communication, en dehors des moments de travail. Ces communications reposent plus sur une connaissance du cheval, tan physique de morale, qui donne des informations sur son état, physique et mental, et donc le cavalier piéton doit savoir décrépiter les données.

A. La communication intuitive.

C’est un peu le 6ème sens du cavalier. Certains en ont instinctivement, d’autres doivent le travailler, il s’agit de reconnaitre les signaux des chevaux. C’est ce qui a été détourné par « l’équitation éthologique » mais qui en fait est simplement l’étude du comportement du cheval afin d’en tirer les informations nécessaires à la communication avec lui. Du moment que l’homme a domestiqué le cheval, il est de son devoir de le comprendre afin de répondre au mieux de ses besoins.

Cette communication est basée sur l’apprentissage des codes naturels des chevaux et leur interprétation.

Dans une certaine mesure, il est possible de travailler sur cette base de communication, le principe étant se placer dans un cadre de respect mutuel, puis d’action/réaction basé sur le comportement intuitif du cheval.

B. La communication abusive.

Je ne savais pas comment la nommer mais c’est à mes yeux le « soit sage et tais toi » du cheval …

L’humain va tenter de dominer par la force et la contention le cheval. C’est outre passer le renforcement négatif, en omettant le respect de l’intégralité du cheval.

L’échange sera réduit à peau de chagrin : tu fais ce que je te demande, si non un acte d’inconfort est immédiatement donné, jusqu’à réédition du cheval.

A mon avis, ce n’est même plus de la communication mais de la dictature !

l'observation c'est la base de l'apprentissage de la communication.