Stage ACTEF enseignants 14/15 décembre : jour 2 mardi 15, atelier à cheval avec Patrice Franchet D'Espérey

Publié le par Arazzi

Atelier à cheval avec Patrice Franchet d’Espérey.

Voilà voilà … de retour dans le manège, presque la nuit …

La suite du travail à pieds, du travail à la longe … le travail monté.

De nouveau, avant dans le boxe, seule sans Téodore cette fois, je recommence les exercices de décontractions et de flexions.

Koffka est beaucoup, beaucoup plus sereine.

Au montoir, petite précision sur le fait que celui qui aide au montoir, s’il doit tenir le cheval c’est main sur le montant du filet à l’opposé du montoir, jamais on ne doit jamais intervenir entre la main du cavalier et la bouche du cheval, le cavalier doit rester le maître.

Reprise dans le même suivi : flexions d’encolure, mouvement de suivi de la main, accompagnement, petits cercles, recherche de la décontraction, …

C’était plus visuel … difficile à retranscrire.

Je prends la suite …

Une jument bien plus sereine, là où les tensions sous-jacente étaient, il y a de la souplesse qui induit ce fameux mouvement reptidauphin !

Même si je suis encore pataud dans ma façon de faire, la jument est bien plus réceptive et m’emmène elle-même dans l’exercices, les heurts ont disparu. Les incompréhensions ne mènent pas à des oppositions, on se contente de revenir à l’étape précédente : décontraction, flexion, mains coulissante pour entrainer le mouvement vers l’avant sur un contact égal, la rêne extérieure qui guide, jambe extérieur pour inciter le mouvement en cas de « perte » des hanches.

Les aides (main/jambe) fonctionnent en latéral.

La fluidité est flagrante.

Quand la main doit coulisser il faut que la main extérieure prenne le relais en montant la rêne, mais la main intérieure ne doit pas tirer ou ramener, elle sert de guide dos de main sur le dessus, doigts souples, le relâchement immédiat quand le cheval exécute la demande.

Par de crispation, poussée, friction, pression, … lors de la demande, la décontraction musculaire et la douceur de la main qui guide mène à une communication souple et harmonieuse.

Arrêter en montant les mains sur des rênes fluides.

Elévation de l’encolure dans l’oscillation verticale de la nuque les monte quand la nuque va monter et redescendent avec.

Les mains accompagnent toujours le mouvement de la bouche, pas de mouvement vers l’arrière.

La séance sera très courte, j’avoue que c’était aussi bien, dans le sens ou la jument à tellement acquis et donné durant les deux jours que je ne me voyais pas aller plus loin.

Encore une fois l’écoute du cheval, de son rythme, est respectée.

Mon avis :

Ce n’est pas une fin … c’est un commencement ! Voilà ce qu’il en sort de cette séance, du pas … mais du beau pas, du pas calme, souple, léger et harmonieux.

Il est difficile de rendre sur le clavier, ce que u le sens de la séance, j’ai posé une photo en marquant : « juste par ce que chaque seconde est une victoire ».

Juste par ce que chaque seconde est une victoire

Juste par ce que chaque seconde est une victoire

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