Les stages 2015 et ALORS ???
Oui car bon suite à l'article d'hier, je me suis dis que je risquais fort de m'étendre donc que j'allais faire un autre article !
Dans le sens ou comparer c'est toujours compliqué, si il y a des points avec lesquels je suis d'accord, d'autre moins et certains que je suis loin de maîtriser autan que je l'aimerais, je pense qu'il est surtout essentiel de se demande qu'es ce que cela peut apporter ?
Dans une période mouvementé :
- où les clients fuient des centres équestres usines,
- où les animateurs équestres sont mis au pilori de l'incompétence technique que leur confère leur diplôme,
- où le taux d'années équestres d'un cavalier avoisine les 3 ans,
- où la durée de vie d'un moniteur n'est guère plus que celle des cavaliers en herbe ...
- où les cavaliers font 1 an de club se prennent pour des stars et s'achètent sans avis pro un gentil, joli, pas cher, cheval de leur rêve .... se font peur et le dit cheval fini en tondeuse dans le meilleur des cas !
Il est peut-être surtout tan de sortir la tête du bac à sable que constitue notre milieu de travail, la carrière.
Moi m'en fou j'ai pas de sable à la maison, j'ai pas les moyens, ma carrière est en herbe !
Donc pour profiter du sable chez les autres, je vais en stage ... non ... c'est pas ça la raison !
Décembre 2015 : stage ACTEF.
La raison c'est que j'aime transmettre ma passion ... mais j'aime aussi et surtout apprendre !
Et les livres ont leurs limites, alors à un moment donné il faut mouiller la chemise et partir sur les routes avec son cheval, ou sans car c'est possible aussi.
Mais attention ... aller se former c'est risquer de voir s'effondre son joli petit monde où on sait, ... mieux que les autres, on comprend ...tout mieux que les autres, on fait ... mieux que tout le monde.
Bref aller en formation c'est s'ouvrir aux autres, accepter la critique, la remise en question de ses façons de faire, de voir, de comprendre.
Dans la mesure où on choisi des formations d'un certain type, après avoir lu les ouvrages d'intervenants ou leurs articles sur le nets, on peut déjà savoir si on va être dans une transmission avec discussion ou dans un transmission à coup de marteau sur la tête ... la notre et celle de notre monture.
Alors déjà en amont il faut :
- réfléchir ... si si c'est possible.
- lire ... mais si je vous assure les moniteurs savent lire autre chose que les listes d'engagements en CSO.
- dialoguer ... c'est à dire aller à la rencontre des autres, lors de réunions, colloques, ...
- choisir ... avec son coeur.
Koffka en mai 2015
Dans la société actuelle, où tout est question de vitesse, image, esthétisme, ...
Il faut savoir dans quelle orientation on souhaite pratiquer notre sport et transmettre à la génération cavalière suivante.
Il n'est pas obligatoire de monter son cheval pied nu, à cru et en licol pour être respectueux !
Il existe en France des enseignants, des instructeurs qui ont les compétences nécessaires, tan physiologiques que mentales, pour orienter la pratique équestre dans l'harmonie. Il suffit de chercher un peu et d'ouvrir grand ses oreilles.
Et 2016 alors ? Même orientation ?
Déjà une inscription comme auditeur à une journée de stage menée par Magdalena Pommier, qui va faire le sujet d'un article bientôt ...
Peut-être une journée sur le même type mais pour un stage mené par Patrice Franchet d'Espérey.
J'attend une possible suite au stage pilote de l'ACTEF.
J'envisage une autre visite chez Yves Katz dans l'année.
J'espère être aux 3èmes Rencontres à Saumur en octobre ...
Puis l'essentiel dans tout ça, c'est le bien être de ma jument, qui vient de ci loin ...
Koffka en 2013, 15 jours après son arrivée à la maison.